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22 décembre 2013 7 22 /12 /décembre /2013 14:08

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Publié dans Le Chien Magazine 

 

 

 

noel 4

 

 

Selon le Larousse, un cadeau est une « chose qu'on offre à quelqu'un pour lui faire plaisir ». Cependant un animal n’est ni un jouet ni un vêtement, c’est un être sensible qui ressent des émotions, qui souffre, qui vit… comme nous.

 

Offrir un animal pour Noël est-il raisonnable ?

A qui peut-on offrir un animal ?

Comment procéder au mieux pour chacun (humain et animal) ?

 

Victoria Chasle Castillo, notre spécialiste des relations Homme / Animal, nous aide à y voir plus clair.

 

 

 

 

 

 

L’arrivée d’un animal est aussi bouleversante que celle d’un enfant : c’est tout notre quotidien qui s’en trouve transformé. L'adopter c'est, entre autres, s'engager en termes de durée, d’affection et d’argent. C'est une grande responsabilité qui implique des devoirs et des contraintes. C’est une décision qui ne doit pas être prise sur un coup de tête mais qui doit être mûrement réfléchie.

 

 

 

 

L’arrivée d’un animal implique certaines responsabilités notamment financières

 

 

photo-2-6-.jpg

 

 

  Vaccin

  Tatouage/puce

  Vermifuge

  Soins vétérinaires

  Toilettage (selon la race)

  Gardes (vacances, week-end)

  Accessoires nécessaires pour son confort (jouets, panier, friandises, collier, laisse…) et pour voyager (cage de transport, filet de protection…)

  Etc.

 

 

  L'adoptant est-il à même d'assumer cette part de responsabilité ?

 

 

 

 

 

Noël : le bon moment ?

 

Fêtes, déplacements, excitation : rien n’est réuni pour accueillir un animal correctement durant les périodes de Noël. Une arrivée dans un nouveau foyer est toujours source de stress et de peur pour un animal qui perd tous ses repères. Son arrivée dans ce nouveau monde serait alors doublement stressante (et on le comprendrait !).

 

Le mieux reste donc d'accueillir notre nouveau compagnon après Noël. Il est toujours possible de faire les démarches au préalable et d'offrir en cadeau une photo de lui ou tout autre objet faisant référence à sa petite personne ! L'émotion de la personne sera au rendez-vous et la sensibilité du quatre pattes sera respectée.

 

 

 

Quelques points à aborder 

 

  * Qui va le sortir quotidiennement, même par temps froid et pluvieux ?

  * Qui va ramasser ses excréments ?

  * Qui va le brosser, le laver et le soigner ?

  * Qui va s’occuper de lui tous les jours et ce pendant une quinzaine d’années ?

 

Avoir un animal ne se résume pas qu'à jouer avec lui. L’acquisition d’un être vivant sous-entend d’être responsable. Il est alors évident qu’un enfant ne peut assumer cette charge : c’est aux parents de s’occuper du chien. L’enfant peut juste, selon son âge, aider à certaines tâches… et toujours sous surveillance d’un adulte.

N'attendons donc pas d'un enfant qu'il assume seul un animal (en penant soin de lui répéter par la suite que c'est lui qui l'a voulu !).

 

photo-8-.jpg

 

 

 

Un animal pour qui ?

 

Pour l’enfant de minimum 3 ans, il y a quelques règles de base à suivre impérativement pour une cohabitation sans risque et pour éviter un abandon :

  * Ne pas l’embêter

  * Ne pas lui faire peur

  * Ne pas lui faire mal (lui tirer les poils, la queue, les oreilles, lui mettre les doigts dans les yeux, lui monter dessus, le frapper…)

  * Ne pas jouer ou courir en sa présence et à proximité de ses lieux de couchage et de prise de nourriture.

  * Ne pas crier, s’agiter, s’énerver

  * Le laisser tranquille quand il s’est retiré dans son lieu de repos

 

 

Astuce !

Si l’on souhaite réellement offrir un chien à son enfant, allons d’abord dans un refuge pour le mettre en contact avec les animaux et voir sa réaction (s'agit-il d'un véritable souhait ou d'une envie passagère ?). Non seulement ce sera un bon test pour s’assurer de sa motivation mais, en plus, on fera une bonne action en permettant à ces chiens de se faire promener !

 

 

grand chien

 

 

Il est tentant de vouloir offrir un animal à une personne âgée pensant ainsi qu’elle aura une compagnie, mais est-ce réellement une bonne idée ?

Va-t-elle avoir assez d’énergie pour assurer les promenades quotidiennes, séances de jeux, éducation (propreté, mordillements, destruction…) ?

Va-t-elle supporter tous les frais que cela implique (nourriture, hygiène, soins, sorties, jeux…) ?

En cas de placement anticipé dans une maison de retraite ou de décès, que devient l’animal ?

Qui le prend en charge ?

...

 

 

 

En parlant de compagnie, ce n'est pas parce qu'une personne est célibataire (par exemple) qu'elle désire forcément adopter un animal ! On ne devrait jamais mettre une personne devant le fait accompli : un animal n'est pas un meuble !

 

/!\ A LIRE /!\

Le témoignage d'une personne regrettant son "cadeau"...

>> Cliquez ICI <<

 

 

noel 1

 

Race, robe, sexe, âge, comportement (joueur ou timide, câlin ou indépendant, craintif ou tête brûlée, silencieux ou aboyeur, destructeur ou sage)... : tous ces facteurs peuvent décevoir la personne qui va l’accueillir. Ce n’est pas un téléphone portable qu’on achète, qu’on jette puis qu’on remplace. Pas de ticket de caisse à garder pour se faire rembourser si le cadeau fait un flop. C’est un engagement à long terme (prévoir une dizaine d’années de sa vie !) auquel se destine la personne visée par ce cadeau. 

 

 

 

Disponibilité, patience, indulgence, respect, calme et constance sont les maîtres mots pour une bonne adoption, et ce n’est pas pendant les fêtes de Noël que cela peut se faire. L’animal doit réellement et profondément être désiré... et si c'est le cas, où est le problème d'attendre un peu ?

 

Pour être certain que la personnalité et l’apparence de l’animal correspondent aux attentes de la personne, le mieux reste d’aller chercher l’animal avec elle. En effet, désire-t-elle un chien ? Mais quoi comme chien : Bichon ? Bull Terrier ? Labrador ? Chihuahua ? Bouledogue ? D'ailleurs, ne préfèrerait-elle pas un chat ? Un furet ? Un lapin ?...

 

Chaque année, des milliers d’animaux cadeaux sont abandonnés. Faut-il blâmer la personne désemparée par ce « cadeau empoisonné » ou bien celle à l’origine de ce cadeau ?

 

 

 

 

Victoria Castillo

Comportementaliste

Formatrice de comportementalistes

 

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8 décembre 2011 4 08 /12 /décembre /2011 09:22

Par exemple, dans "animal farm'' et "babe le cochon devenu berger", les moutons sont décrits comme des créatures idiotes. Pourquoi ?

 

 

Réponse :

 

Tout est projection humaine :

* le renard serait "sournois", "fourbe" et "voleur"
* le cochon serait "sale"
* le poisson rouge n'aurait pas de mémoire
* l'humain devrait être le "dominant"
* etc. !

Bref, encore et toujours des préjugés...

 


Le mouton serait donc stupide ? En même temps, les animaux classés (par l'humain, évidemment) dans la catégorie "intelligents" se comptent sur les doigts d'une main...

Pourtant, en étudiant les moutons, Keith Kendrick, professeur de neurobiologie à l’Institut Babraham (Cambridge), a constaté en 2001 que ces animaux ont une vie mentale extrêmement complexe : ils peuvent se souvenir d’au moins 50 faciès ainsi que le « profil » de chacun d’eux, et ce même après une année de séparation.

mouton

 

En Australie, l’éthologiste Caroline Lee a construit avec des barrières un labyrinthe spécial pour les moutons et a testé la capacité de 60 d’entre eux à trouver la sortie. Résultats : ils s’y retrouvent et améliorent leur performance… et se souviennent du parcours au moins 6 mois plus tard.

De la même façon, les poissons arc-en-ciel, entraînés à trouver un trou dans un filet pour s’en échapper, apprennent en 5 essais et réussissent encore l’exercice du premier coup 11 mois plus tard (Brown, 2001), faisant taire le mythe caricatural de la « mémoire de 3 secondes des poissons ».

Au nord de l’Angleterre, des troupeaux de moutons évoluent au milieu des ravins, sans berger ni chien de troupeau. Ils ne tombent jamais, de même qu’ils ne se perdent pas, et savent où s’abriter en cas de pluie, à quel endroit traverser la rivière, etc. Ceci n’est pas le fait de leur instinct : cette connaissance des lieux est enseignée de génération en génération par voie parentale, des brebis aux agneaux. On suppose que ces animaux ont hérité du savoir des bergers qui les ont instruits à une époque lointaine où ils restaient à toute heure avec leur troupeau.

Voici un lien qui peut vous être utile.

 

Victoria Chasle Castillo
Comportementaliste
www.1001comportements.com
Formatrice de comportementalistes
www.rhafael.com

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23 juin 2011 4 23 /06 /juin /2011 18:06
Comment expliquer l'attachement d'un enfant vis-à-vis de son chien, de son chat ou de son hamster ? Tant qu’il n’en a pas, il en réclame inlassablement à ses parents. Et dès que son compagnon à quatre pattes fait son entrée dans la famille, une relation affective unique se noue. Confident de tous les instants, l'animal de compagnie devient même un médiateur pour l'enfant fragile ou en difficulté.

 

 

Papa, maman... je veux un chien !

Papa, maman…, je veux un chien !

Ce n’est pas un hasard si les enfants raffolent de ces petites boules de poils. L'animal de compagnie a un côté rassurant, attendrissant, chaleureux, qui le rend très attirant aux yeux des êtres humains et plus particulièrement des plus petits. Qui n’a jamais idéalisé son chien ou son chat ? On lui attribue des qualités humaines telles que la fidélité, l’écoute, le respect. « Dans neuf cas sur dix, les enfants citent l’animal comme un membre à part entière de la famille », souligne Marine Grandgeorge, chercheur spécialisé dans la relation homme-animal.
L’enfant fait la différence entre l’animal et la peluche très tôt. « Vers l'âge de 3 ans, il manifeste des gestes brusques comme tirer la queue, les poils du chien ou lui mettre les doigts dans les yeux. Ce n’est qu’à partir de 4 ans que se développent les comportements affiliatifs qui consistent à étreindre l’animal, l’embrasser, le caresser, dormir avec lui », ajoute Victoria Chasle Castillo, comportementaliste animalier et experte sur Wamiz, le site de référence sur les animaux.

 

 

Un compagnon rêvé

 

Un compagnon rêvé

La relation entre l'enfant et l'animal ne se résume pas à quelques caresses ou à des activités ludiques. C’est la rencontre entre deux individus, le début d’une complicité qui contribue à développer le sens des responsabilités et à structurer la personnalité de l’enfant. « L’animal familier apaise, sécurise, structure et canalise l’enfant. Il facilite également les liens sociaux, développe la communication et le langage… », explique la comportementaliste animalier. « Le célèbre chercheur et professeur Hubert Montagner s’est interrogé longuement sur la raison de cet attachement que les enfants peuvent éprouver pour un chat ou un chien. D’après lui, les relations avec les animaux déverrouillent le monde intérieur de l’enfant, dévoilent et structurent ses compétences, stimulent sa faculté d’apprendre, son imaginaire. ». On retrouve souvent un animal dans un foyer où l’enfant est unique ou lorsqu’il est le dernier d’une fratrie. Dans ce cas, il peut pallier à un frère ou à une sœur. De compagnon de jeu, l’animal devient peu à peu le plus fidèle confident de l’enfant.

 

 

L'apprentissage de la vie


L'apprentissage de la vie

La présence d’un enfant dans un foyer est souvent le déclic pour acquérir un animal. Néanmoins, cet acte doit être mûrement réfléchi. La raison de l’adoption est essentielle. Les parents peuvent très bien adopter un animal pour eux, même s’il s’agit d’une demande de l’enfant. Ils s’en occuperont et l’enfant ne sera pas impliqué. Au contraire, « il peuvent se servir de l’animal comme d’un support d’éducation pour responsabiliser leur enfant », note Marine Grangeorge. La présence d’un animal permet ainsi d’expliquer les cycles de la vie : la maternité lorsque la chatte fait des petits, une première confrontation à la mort avec la perte du hamster…. Au contact de l’animal, le petit homme fait l’apprentissage de l’autorité et développe sa responsabilité. Il prend conscience de ses capacités à prendre soin d’un être vivant.

 

 

Quand l'animal devient un médiateur

 

 Quand l'animal devient un médiateur

On connaît les chiens guides d'aveugles, précieux alliés qui embellissent et facilitent la vie des personnes non-voyantes. Mais l’animal peut aussi avoir un rôle de médiateur pour permettre à des enfants handicapés ou en difficultés sociales, comme à des personnes âgées, de rompre leur isolement. « Les effets de la médiation animale ne sont pas prouvés scientifiquement, précise Marine Grangeorges, mais dans la pratique on ne peut pas nier son influence positive ». Durant les séances de médiation, l’enfant est mis en contact avec un animal. Cette rencontre peut lui permettre de s’exprimer et l’aider à reprendre confiance en lui. Le chercheur a mené l’expérience avec un cochon d’Inde chez des enfants autistes. « Si un tiers des enfants ne se sont pas intéressés à l’animal, certains sont allés vers lui, d’autres se sont tournés vers les parents. Ce qui prouve le rôle de catalyseur social de l’animal qui amène l’enfant à communiquer. »
Aurélie Vinceneux a fondé l’association Cœur d’Artichiens. Elle a mené des séances de médiation animale dans une école de Zone d’Education Prioritaire (ZEP) près de Nantes. A chaque fois la présence de son chien en salle de classe a été très bénéfique pour les élèves qui arrivaient ainsi à mieux se concentrer. « L'enfant va naturellement créer un lien de complicité avec l'animal. C’est sur ce lien que l’intervenant en médiation animale va s’appuyer pour travailler avec lui », souligne-t-elle. Avec Thomas qui entrait en CM2, Aurélie a élaboré tout un programme scolaire qui plaçait le chat au centre de la pédagogie (dictée sur la rencontre avec le chat, mathématiques à partir des tâches sur son pelage). Incontestablement, chez les enfants instables et en difficulté sociale, la présence d'un animal donne des résultats positifs.

 

Par Candice Satara-Bartko

Pour Terrafemina.com

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16 octobre 2010 6 16 /10 /octobre /2010 11:04

Mon furet lâche ses glandes très souvent, que faire pour qu'il arrête ?

 

 

Un lâcher de glandes anales est un signal d’alarme, une arme défensive. Le plus fréquemment, un furet libère ses sacs anaux en cas de stress, c’est-à-dire de conflits, de fortes excitations, de peur, de perturbations, de problème de santé

 

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Vous pouvez aider votre furet à ce qu’il ne désodorise plus votre habitat de son odeur en cherchant l’origine du problème. Généralement, en permettant au furet de vivre plus sereinement, on parvient à fortement réduire ce type de comportement désagréable. Néanmoins, il convient de rappeler que l’ablation des glandes anales est interdite depuis le 1er mai 2004.


Victoria Chasle Castillo
Comportementaliste
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7 octobre 2010 4 07 /10 /octobre /2010 13:57

Depuis l'arrivée de mon chien, mon chinchilla bave et ne mange plus beaucoup. Est-ce par jalousie ?

 

 

 

Assurez-vous tout d’abord qu’il ne s’agisse pas de malocclusion dentaire, l’hypersalivation et l’anorexie étant les principaux symptômes. L’aspect comportemental ne sera à envisager qu’une fois tout risque de pathologie écarté.

 

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La jalousie est un comportement inaccessible à l’animal et, si votre animal a changé de comportement, n’y voyez que du stress : un chinchilla supporte très mal le changement. Toute modification de sa routine est à éviter et, en tant qu’espèce de proie, le chinchilla s’élève difficilement avec d’autres animaux.

 

Les situations de stress prolongé entraînent le plus souvent de l’anorexie mais aussi parfois la perturbation du sommeil, l’arrachage de poils, la diminution du comportement de toilettage, des infections, la mort… Gardez à l’esprit qu’un chinchilla peut mourir de stress.

 

 

Protégez votre petit compagnon en le maintenant à l’écart de votre chien qu’il peut percevoir comme un prédateur, installez-le dans une pièce calme où il peut être tranquille et préservez-le de toute situation perturbante.



Victoria Chasle Castillo
Comportementaliste
www.1001comportements.com

 

 

 

"Victoria la comportementaliste répond à vos questions !" sur Wamiz

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28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 11:37

Mon furet de 3 ans a perdu ses poils à la queue, qu'est-ce que ça veut dire ?

 

 

Il est courant de parler de mue estivale mais, le plus souvent, il s’avère que cette soudaine perte de poils témoigne d’une situation de stress intense que vit l’animal.

 

photo792.jpg

Cherchez ce qui a changé dans son quotidien : un déménagement ? L’arrivée d’un nouvel individu ? (Congénère, chien, chat, humain…) Un changement de cage ? (Nouveaux accessoires, odeur nouvelle d’un linge lavé…) Faites en sorte de protéger votre petit animal de ce qui le perturbe en prenant en compte sa sensibilité et son seuil de tolérance.


Victoria Chasle Castillo
Comportementaliste
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"Victoria la comportementaliste répond à vos questions !" sur Wamiz

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6 septembre 2010 1 06 /09 /septembre /2010 07:10

Quel animal conviendrait à un malade atteint d'Alzheimer ?

 

 

La présence d’un animal peut avoir un effet bénéfique au niveau des troubles du comportement et de la communication chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, elles ont tendance à devenir moins agressives et à communiquer davantage avec leur entourage.

Les chiens et les chats peuvent raviver certains sens mais tous ne conviennent pas à un malade : véritable éponge affective, il faut que l’animal soit parfaitement équilibré et capable d’engranger toutes ces perturbations émotionnelles que suppose un malade d’Alzheimer. Outre ces animaux familiers, il y a aussi les poissons d'aquarium qui, par leur calme, ont des effets très apaisants.


Victoria Chasle Castillo
Comportementaliste
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Wamiz rubrique "Victoria la comportementaliste répond à vos questions !"

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25 juillet 2010 7 25 /07 /juillet /2010 11:01

[voir aussi "il a goûté au sang !"]

 

 

Mon furet me mord violemment, et plus fort encore quand j’essaie de le calmer. Pourquoi ?

 

 

Tout dépend de votre façon de le calmer. Votre furet peut vous mordre pour plusieurs raisons qui lui sont propres en fonction de ses conditions de développement précoce, de ses expériences passées et actuelles.

Sachez que les prises par le cou et autres pichenettes conseillées par certains déclenchent généralement méfiance et « rébellion » chez les furets. Que pourrait-on leur enseigner si nous usons nous-mêmes de violence à leur encontre ? Je vous invite à lire cet article qui pourra vous être utile.



Victoria Chasle Castillo
Comportementaliste
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Publié sur Wamiz dans la rubrique "Victoria la comportementaliste répond à vos questions".

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22 juillet 2010 4 22 /07 /juillet /2010 14:56

Ma lapine se jette sur mon lapin et refuse de sociabiliser, que faire ?

 

 

En mettant en place certaines méthodes (dont vous trouverez quelques bases ici), votre lapine parviendra probablement à cohabiter sereinement avec son congénère. Encore faut-il qu’elle ait connu d’autres lapins avant lui et que ces relations se soient bien passées.

Si les rencontres durent depuis plus de 2 mois et qu’elles se passent mal, il faut alors se rendre à l’évidence : la cohabitation est impossible. Le replacement du dernier arrivé devra donc être envisagé pour le bien-être des deux ou alors les installer dans deux cages séparées et alterner les sorties. Les difficultés de cohabitation peuvent être une source intense de stress et mener à des comportements inquiétants (alopécie, automutilations, excitation, apathie…).



Victoria Chasle Castillo
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Publié dans la rubrique "Victoria la comportementaliste répond à vos questions" sur Wamiz

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13 juillet 2010 2 13 /07 /juillet /2010 08:37

Comment sociabiliser mon lapin ?

 

 

Le mieux consiste à adopter les lapins jeunes et ensemble. Le lapin étant un animal territorial, la rencontre devra se faire dans un lieu neutre susceptible de les intéresser par sa nouveauté. Une fois mis en contact, ne précipitez pas les choses, restez neutre et n’intervenez pas. Ils doivent avoir la possibilité de fuir ou de se cacher s’ils en ressentent le besoin. Une fuite impossible est source de stress, peut être traumatisante et conduire à une mésentente définitive voire à de graves blessures. Laissez-leur la possibilité de pouvoir se sentir et observez leur comportement (indifférence ? Crainte ? Panique ? Brutalité ?). Seulement si la situation dégénère, interrompez calmement le conflit.

La territorialité du lapin induit l’apparition de marquages (selles particulièrement odorantes, urines et marquages mentonnier). Des chevauchements peuvent se manifester : ce sont des comportements normaux dont le but est de définir la hiérarchie sociale, ils ne doivent pas être réprimés. Notez aussi que l’état hormonal des lapins entiers mâles et femelles peut jouer un rôle prépondérant dans la cohabitation.

 

Victoria Chasle Castillo
Comportementaliste
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Publié dans la rubrique "Victoria la comportementaliste répond à vos questions" sur Wamiz

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