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23 juin 2011 4 23 /06 /juin /2011 18:06
Comment expliquer l'attachement d'un enfant vis-à-vis de son chien, de son chat ou de son hamster ? Tant qu’il n’en a pas, il en réclame inlassablement à ses parents. Et dès que son compagnon à quatre pattes fait son entrée dans la famille, une relation affective unique se noue. Confident de tous les instants, l'animal de compagnie devient même un médiateur pour l'enfant fragile ou en difficulté.

 

 

Papa, maman... je veux un chien !

Papa, maman…, je veux un chien !

Ce n’est pas un hasard si les enfants raffolent de ces petites boules de poils. L'animal de compagnie a un côté rassurant, attendrissant, chaleureux, qui le rend très attirant aux yeux des êtres humains et plus particulièrement des plus petits. Qui n’a jamais idéalisé son chien ou son chat ? On lui attribue des qualités humaines telles que la fidélité, l’écoute, le respect. « Dans neuf cas sur dix, les enfants citent l’animal comme un membre à part entière de la famille », souligne Marine Grandgeorge, chercheur spécialisé dans la relation homme-animal.
L’enfant fait la différence entre l’animal et la peluche très tôt. « Vers l'âge de 3 ans, il manifeste des gestes brusques comme tirer la queue, les poils du chien ou lui mettre les doigts dans les yeux. Ce n’est qu’à partir de 4 ans que se développent les comportements affiliatifs qui consistent à étreindre l’animal, l’embrasser, le caresser, dormir avec lui », ajoute Victoria Chasle Castillo, comportementaliste animalier et experte sur Wamiz, le site de référence sur les animaux.

 

 

Un compagnon rêvé

 

Un compagnon rêvé

La relation entre l'enfant et l'animal ne se résume pas à quelques caresses ou à des activités ludiques. C’est la rencontre entre deux individus, le début d’une complicité qui contribue à développer le sens des responsabilités et à structurer la personnalité de l’enfant. « L’animal familier apaise, sécurise, structure et canalise l’enfant. Il facilite également les liens sociaux, développe la communication et le langage… », explique la comportementaliste animalier. « Le célèbre chercheur et professeur Hubert Montagner s’est interrogé longuement sur la raison de cet attachement que les enfants peuvent éprouver pour un chat ou un chien. D’après lui, les relations avec les animaux déverrouillent le monde intérieur de l’enfant, dévoilent et structurent ses compétences, stimulent sa faculté d’apprendre, son imaginaire. ». On retrouve souvent un animal dans un foyer où l’enfant est unique ou lorsqu’il est le dernier d’une fratrie. Dans ce cas, il peut pallier à un frère ou à une sœur. De compagnon de jeu, l’animal devient peu à peu le plus fidèle confident de l’enfant.

 

 

L'apprentissage de la vie


L'apprentissage de la vie

La présence d’un enfant dans un foyer est souvent le déclic pour acquérir un animal. Néanmoins, cet acte doit être mûrement réfléchi. La raison de l’adoption est essentielle. Les parents peuvent très bien adopter un animal pour eux, même s’il s’agit d’une demande de l’enfant. Ils s’en occuperont et l’enfant ne sera pas impliqué. Au contraire, « il peuvent se servir de l’animal comme d’un support d’éducation pour responsabiliser leur enfant », note Marine Grangeorge. La présence d’un animal permet ainsi d’expliquer les cycles de la vie : la maternité lorsque la chatte fait des petits, une première confrontation à la mort avec la perte du hamster…. Au contact de l’animal, le petit homme fait l’apprentissage de l’autorité et développe sa responsabilité. Il prend conscience de ses capacités à prendre soin d’un être vivant.

 

 

Quand l'animal devient un médiateur

 

 Quand l'animal devient un médiateur

On connaît les chiens guides d'aveugles, précieux alliés qui embellissent et facilitent la vie des personnes non-voyantes. Mais l’animal peut aussi avoir un rôle de médiateur pour permettre à des enfants handicapés ou en difficultés sociales, comme à des personnes âgées, de rompre leur isolement. « Les effets de la médiation animale ne sont pas prouvés scientifiquement, précise Marine Grangeorges, mais dans la pratique on ne peut pas nier son influence positive ». Durant les séances de médiation, l’enfant est mis en contact avec un animal. Cette rencontre peut lui permettre de s’exprimer et l’aider à reprendre confiance en lui. Le chercheur a mené l’expérience avec un cochon d’Inde chez des enfants autistes. « Si un tiers des enfants ne se sont pas intéressés à l’animal, certains sont allés vers lui, d’autres se sont tournés vers les parents. Ce qui prouve le rôle de catalyseur social de l’animal qui amène l’enfant à communiquer. »
Aurélie Vinceneux a fondé l’association Cœur d’Artichiens. Elle a mené des séances de médiation animale dans une école de Zone d’Education Prioritaire (ZEP) près de Nantes. A chaque fois la présence de son chien en salle de classe a été très bénéfique pour les élèves qui arrivaient ainsi à mieux se concentrer. « L'enfant va naturellement créer un lien de complicité avec l'animal. C’est sur ce lien que l’intervenant en médiation animale va s’appuyer pour travailler avec lui », souligne-t-elle. Avec Thomas qui entrait en CM2, Aurélie a élaboré tout un programme scolaire qui plaçait le chat au centre de la pédagogie (dictée sur la rencontre avec le chat, mathématiques à partir des tâches sur son pelage). Incontestablement, chez les enfants instables et en difficulté sociale, la présence d'un animal donne des résultats positifs.

 

Par Candice Satara-Bartko

Pour Terrafemina.com

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18 juin 2011 6 18 /06 /juin /2011 19:40

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Publié dans Spécial Chiens

 

 

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L’heure des vacances a enfin sonné. Dans la préparation de notre départ, un choix s’impose à nous : que faire de Rex ? Peut-on l’emmener avec nous ? Va-t-il bien s’acclimater ? Doit-on le laisser ? Quel mode de garde est le mieux adapté à lui ? Quelles sont les contraintes ? Une mise au point s’impose pour y voir plus clair.

 

 

 

 

 

De nombreux facteurs sont à prendre en compte pour déterminer si notre chien est apte ou non à nous suivre : sa sensibilité, son âge, son degré d’attachement à nous, son adaptabilité face aux changements, sa santé… mais il en va également du type de vacances que l’on compte mener. Hôtel, camping, villa ou hébergement chez des amis ? Visites de musées ou farniente au soleil ?… Que fera-t-il durant nos absences ? Est-il déjà sujet aux aboiements, destructions, malpropreté, etc. ? Supportera-t-il de rester seul à nous attendre dans une chambre d’hôtel, une caravane ou une tente ? Nous le connaissons mieux que quiconque, c’est donc à nous de déterminer ce qui sera le moins perturbant pour lui.

 

 

 

Il vient avec nous ? Alors organisons-nous !

 

Avant le départ, assurons-nous que les animaux sont acceptés là où on va. Prévoyons-lui une trousse : son carnet de santé, une liste des numéros utiles, sa laisse et son collier avec une médaille indiquant notre numéro de téléphone, quelques-uns de ses jouets, des écuelles, sa brosse, une couverture pour le confort… Une trousse à pharmacie est également indispensable : pince à tiques, pince à épiler, ciseaux à bouts ronds, sparadrap, compresses stériles, désinfectant, thermomètre, gants…

Notre animal doit absolument être identifié par puce électronique ou tatouage (obligatoire à partir de 4 mois pour tous les chiens nés depuis 1999) dans le cas où il viendrait à se perdre, surtout qu’il est désormais possible d’inscrire notre adresse de vacances sur le fichier central canin. Ses vaccins doivent être à jour et adaptés à notre destination.

 

 

 

     * Le transport

 

Renseignons-nous sur les différents moyens de transport qui s’offrent à nous et qui disposent du confort nécessaire pour que notre chien puisse voyager en toute tranquillité.

 

La voiture…

Attention aux conjonctivites et aux otites (qu’il peut contracter quand il passe la tête par la fenêtre), au mal des transports et aux freinages brusques. Il devra être installé à l’arrière (pas dans le coffre fermé ni sur nos genoux ni à nos pieds) avec un filet de protection ou un harnais de sécurité. Ne négligeons pas les pauses toutes les deux heures et prenons garde à ce qu’il soit bien attaché sur les aires de repos (munissons-nous d’une longe ou d’une grande laisse et ne le perdons pas de vue). Pour éviter de voyager dans une chaleur torride, les trajets de nuit s’avèrent plus judicieux. Si en temps normal Médor apprécie très moyennement les trajets en voiture ou qu’il ne voyage qu’à nos pieds, oublions tout de suite ce mode de transport.

 

Le train…

S’il pèse moins de 6kgs, il peut tenir dans un sac de transport adapté (que l’on munira au préalable d’une étiquette avec nos coordonnées) et pourra en sortir obligatoirement tenu en laisse. Pensons à son titre de transport qui coûte 5,10€, peu importe la destination. Au-delà de 6kgs, il s’agira d’un billet demi-tarif 2e classe et, peu importe la race (sauf chiens de première catégorie qui sont formellement interdits), leport d’une muselière sera obligatoire. Enfin, n’oublions pas que tout le monde n’aime pas les chiens, il est important de respecter les autres voyageurs.

 

L’avion…

S’il pèse moins de 4kgs, il pourra rester avec nous dans un sac adapté, autrement il devra voyager dans la soute. L’achat d’une cage spécifique est alors à prévoir (pensons à lui rajouter de l’eau et une couverture).

 

Le bateau…

Les règles varient selon les compagnies maritimes, certaines autorisent l’animal à voyager avec son propriétaire, d’autres disposent d’un chenil où il devra séjourner durant le trajet, il peut aussi rester dans le véhicule et il arrive également que les animaux ne soient pas acceptés.

 

 

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Lisa Marcel Isirdi et sa Vaudoo

 

 

 

       * Les précautions à prendre pour un séjour paisible

 

- Pour éviter tout risque de déshydratation, il doit toujours disposer d'eau fraîche et doit pouvoir se mettre à l’abri du soleil.

- Selon notre destination, il se peut que nous ne trouvions pas ce qu’il mange habituellement. Le changement d’environnement est déjà perturbant alors ne changeons pas son alimentation : emmenons-la.

- Evitons de promener notre chien aux heures les plus chaudes mais plutôt le matin ou le soir.

- Attention aux coups de soleil sur les parties sensibles (ventre, oreilles, nez…). Lui aussi a droit à une crème solaire d'un facteur de protection solaire de 15 ou plus et sans zinc (toxique pour le chien).

- Les grains de sable et le sel peuvent irriter sa peau. Rinçons-le soigneusement à l’eau claire (sans shampoing) à chaque retour de plage.

- Surveillons ses oreilles et ses coussinets pour dépister les épillets et examinons régulièrement son pelage pour détecter les tiques (un traitement antiparasitaires devra être fait avant et pendant les vacances).

- Un peu de civisme est bien évidemment attendu de la part de chaque propriétaire qui devra ramasser les excréments de son animal en toutes circonstances.

- Evitons les trajets en voiture avec lui et bannissons fermement le fait de l’y laisser par temps très chaud… même fenêtres ouvertes ! Au jour d’aujourd’hui, il est navrant de devoir encore rappeler qu’un animal peut succomber à un coup de chaleur en 10 minutes…

 

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Attention aux fugues !

Qu’il veuille rejoindre des congénères ou qu’il ait perdu ses repères, redoublons de vigilance. En cas de disparition, ayons une photo de lui qui pourra faciliter les recherches (porte à porte, affiches). Prenons contact avec les refuges, vétérinaires et gendarmeries des environs et prévenons le Fichier national canin (tél : 01 49 37 54 54).

 

 

     * Les activités

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Natation…

Pour les chiens qui aiment l'eau, la mise à disposition d’une bassine ou d’une petite piscine l’aidera à endurer la chaleur.

 

 

 

Randonnée pédestre…

Attention aux sentiers qui peuvent le faire souffrir au niveau des coussinets. Un démarrage en douceur est préférable pour tout le monde, on augmentera graduellement la durée de la randonnée selon son état (et le nôtre !). Il est important de lui donner à boire régulièrement et qu’il puisse se reposer à l’ombre. Attention aux conditions climatiques : plus près du sol, le chien ressent bien plus la chaleur et les sols brûlants que nous. S’il n’est pas habitué aux randonnées, s’il a des problèmes d’articulations ou s’il est de petit gabarit, cette activité n’est pas faite pour lui.

 

VTT…

Bien naturellement, il devra déjà être habitué à nous suivre. Inutile de l’emmener si ce n’est pas le cas, ce serait source de problèmes pour tout le monde.

 

 

Plage…

Elles sont bien souvent interdites aux chiens, attention donc à choisir la bonne ! Celles autorisées le sont généralement à des horaires précis le matin et en fin de journée (ça tombe bien, nous ne comptions pas l’y emmener à d’autres heures !).

 

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     * Les difficultés qui peuvent apparaître

 

La vie en communauté (colocation, camping, etc.) peut ne pas correspondre aux besoins de notre animal et bouleverser nos vacances si nous n’y sommes pas préparés.

 

Les enfants…

N’exposons pas notre toutou aux gesticulations, cris, pleurs ou autres chahuts d’enfants survoltés. Mettons-les en présence le moins possible et soyons vigilant lorsque c’est le cas. Si la situation devient difficile, fions-nous à notre ressenti et faisons en sorte d’isoler notre compagnon à quatre pattes afin de le protéger de ces turbulences. Sortons-le quand les enfants sont absents.

 

Les animaux…

D’autres chiens peuvent déjà être présents sur notre lieu de vacances et l’entente peut mal se passer. Si la cohabitation est ingérable, il ne nous restera plus qu’à alterner leurs moments de sortie respectifs afin d’éviter toute rencontre.

 

 

 

Nous partons sans lui ? Alors choisissons le mode de garde le plus adapté à sa personnalité.

 

Tout d'abord, la question que nous sommes nombreux à nous poser : m'en voudra-t-il d'être parti sans lui ? Lire cet article pour plus d'informations.

 

Les professionnels…

S’il est apte à côtoyer des personnes qui lui sont inconnues, la pension peut être une bonne solution. Il est absolument impératif de visiter les lieux au préalable. Vérifions les structures, n’hésitons pas à poser des questions et assurons-nous également que le personnel soit qualifié. Pour ne pas bouleverser ses habitudes alimentaires, faisons en sorte qu’il puisse manger sa nourriture habituelle. N’oublions pas d’apporter tous les documents médicaux ainsi que les numéros utiles (nos coordonnées personnelles, de notre lieu de vacances, d’un proche, du vétérinaire, etc.). Des organismes proposent également les compétences de dog-sitter pour s’occuper de notre animal à notre domicile ou au leur (selon nos préférences), une bonne solution si l’on souhaite qu’il ne change pas d’environnement. Vérifions que la société a reçu l’agrément de la préfecture et prenons le temps d’établir un contrat qui fixe les obligations de chacun.

 

Notre entourage…

Si notre chien a des difficultés à s’adapter, mieux vaut le confier à une personne qu’il connaît : famille, amis, voisins… Plus ils connaissent ses habitudes et ses réactions, mieux se passera la garde.

 

 

 

vacances Lisa Marcel Isirdi et sa Vaudoo

 

 

 

Toujours dans le doute ?

 

On l’adore et on voudrait ne jamais le quitter, mais il est difficile de pouvoir emmener son chien partout avec soi. Le stress, la chaleur, la mise en quarantaine, les maladies, son état de santé, ses fragilités émotionnelles… autant de détails qui doivent être pris en compte afin de pouvoir passer des vacances paisibles.

La meilleure décision que l’on puisse prendre : penser à lui et à son bien-être. Notre animal aussi a le droit de passer des vacances sans stress !

 

 

Victoria Castillo

Comportementaliste

Formatrice de comportementalistes

 

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9 juin 2011 4 09 /06 /juin /2011 19:08

Bonjour,

Ma tante voudrait un chien. Elle possède un grand jardin, n'est pas souvent là la journée et a des voisins retraités avec qui elle s'entend très bien.

Pourriez vous me donner des arguments à conseiller à ma tante dans le choix de la race et le sexe du chien ?

Merci

 

 

Réponse :

 

 

Si votre tante désire un animal, c'est à elle de prendre l'initiative de faire des recherches selon son mode de vie, ses préférences. Mais il est certain que si elle n'a pas de temps à consacrer à un animal (qui demande du temps, des soins, du toilettage, des ressources financières, etc.), il vaudrait peut-être mieux qu'elle s'oriente vers un être vivant moins contraignant comme une plante verte...

 

bandana-blanc-plante-verte.png

 

Et si vous aviez en tête de lui offrir un animal, voici des articles qui pourront vous éclairer :
"Offrir un animal"

"L'animal cadeau - témoignage"


L'adoption d'un animal demande sérieux et réflexion. Il s'agit tout de même d'un engagement d'une dizaine d'années...


Victoria Chasle Castillo
Comportementaliste
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Formatrice de comportementalistes
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Publié dans ma rubrique hebdomadaire sur Wamiz

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1 juin 2011 3 01 /06 /juin /2011 17:22

Bonjour,

Quand elle était petite, ma chienne détruisait et sous le conseil d'un éducateur canin je l'enferme dans la cuisine. Plus de destruction mais toujours les aboiements et les voisins pètent les plombs...

J'ai déjà utilisé le collier à ultrasons et aucune efficacité... on en peut plus, que faire ?

Merci d'avance

 

 

Réponse :

 

Un comportement est une réponse, il conviendrait donc de comprendre précisément les raisons qui poussent votre animal à se déployer ainsi. Le chien aboie principalement pour exprimer ses émotions et, s'il ne parvient pas à tempérer ses vocalises, c'est certainement qu'il ne jouit pas d'un bon équilibre émotionnel. Il peut ainsi signifier son ennui, sa solitude, sa détresse, sa frustration, sa peur...

Vous parlez de colliers anti aboiements ? Voici ce que j'en pense dans cet article.

 

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Lisa Marcel Isirdi

 

Si ses conditions de développement précoce et ses expériences vécues jouent un rôle prépondérant, vous pouvez également l'avoir encouragé de manière inconsciente en manifestant votre intérêt pour lui à chaque aboiement, créant ainsi un nouveau mode de communication entre lui et vous.

Je vous encourage à prendre contact avec un comportementaliste qui est le professionnel du comportement et de la relation Homme / Animal.



Victoria Chasle Castillo
Comportementaliste
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14 mai 2011 6 14 /05 /mai /2011 11:05

Besoin d’aide ? http://1001comportements.over-blog.com/2017/10/nouvelle-methode.html

 

C'est dans le numéro actuel de Spécial Chiens que paraît un de mes dossiers sur l'importance de la socialisation.

 

Résumé du dossier :

 * Comment bien choisir son futur chiot ?

 * L'importance des origines.

 * Le syndrome de privation sensorielle.

 * Comment et où trouver un chien équilibré ?

 * Comment reconnaître un chien mal socialisé ?

 * Les problèmes fréquemment rencontrés :

    Il a peur de l'extérieur...

    Il a peur en voiture...

    Il n'aime pas les autres animaux...

    Il a peur des hommes...

    Il est agressif...

 * Bonus : devenir comportementaliste !

 

 

(Cliquer sur l'image pour agrandir)

 

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Victoria Chasle Castillo

Comportementaliste

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Formatrice de comportementalistes

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4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 09:24

D'habitude propre, ma chatte commence à se coucher dans son bac à litière...

Pouvez-vous me répondre au plus vite !

Merci.

 

 

Réponse :

 

 

http://img.over-blog.com/800x600/1/91/61/89/avril-2010/ete2010/P1050211.JPGUn chat qui dort soudainement dans sa litière n'est jamais bon signe...

La "malpropreté" du chat révèle un problème de stress, de peur, un malaise. Et s'il élimine ainsi, c'est pour se rassurer de son odeur. D'après votre description, votre chatte semble souffrir d'une certaine forme d'anxiété qui la pousse à se coucher dans ce lieu si rassurant pour elle.

Pour savoir ce qui l'incite à se comporter ainsi, je vous conseille de faire appel à un comportementaliste au plus vite après avoir vérifié que tout allait bien niveau santé et vous être assurée que cela ne correspondait pas à un changement de type de litière.



Victoria Chasle Castillo
Comportementaliste
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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 10:08

La peur du chien en voiture

 

 

 

Photo-novembre-237.jpg

 

 

 

Voyager avec Médor peut être un véritable plaisir, mais cela peut également relever du défi (voire du cauchemar) s'il ne supporte pas la voiture. Des méthodes adaptées, basées sur l'habituation et la désensibilisation, aideront notre compagnon à quatre pattes à surmonter son angoisse. C'est à nous de faire preuve de compréhension et de patience vis-à-vis de lui.

 

 


 

Qu’il s’agisse d’un traumatisme ou d’un défaut d’apprentissage, on peut observer des répercussions physiques et biologiques (regard fuyant, queue repliée sous l’abdomen, oreilles en arrière ou bien encore salivation excessive, tremblements, apparition de pellicules, gémissements, tentatives de fuite, menaces, vomissements, diarrhées émotives…) qui sont le signe d’un stress intense. Le forcer à monter en voiture ne peut l’aider à vaincre sa peur, au contraire ! Cela peut même accentuer son aversion.

 

Que faire s’il refuse de monter en voiture ?

 

Pour commencer, ne le forçons pas à subir une situation qui l’effraye. Le risque de briser la confiance qu’il a en nous et de créer un traumatisme supplémentaire est bien réel. Le mieux est de rester neutre, calme et d’éviter tous gestes ou mots rassurants qui viendraient justifier sa peur. S’il n’y a aucune réaction de notre part, il n’y a forcément aucune raison de s’inquiéter.

 

chiens-1724-copie-1.jpg


Sa place doit être à l’arrière, sur la banquette (avec une ceinture de sécurité adaptée) ou dans le coffre (avec une barrière de protection ou un filet de sécurité), mais en aucun cas entre nos jambes ou sur le siège avant passager. C’est dans un lieu sécurisé (jardin, cour) que vont débuter les exercices.

 

 

La méthode idéale (car respectueuse et sans contrainte)

 

La voiture doit être toutes portes ouvertes et moteur éteint. Servons-nous de friandises ou de son jouet préféré selon ses préférences, lançons-le dans la voiture ou déposons les morceaux de nourriture pour l’amener jusque dans la voiture et répétons l’exercice sur plusieurs jours. Plus tard, nous pourrons passer à la fermeture des portes qui devra se faire graduellement, une par une, et sur plusieurs jours.

 

 

Lorsque notre compagnon à quatre pattes sera capable de rester calme dans la voiture fermée, nous pourrons alors mettre le contact. Cette étape devra se faire portes ouvertes de manière à lui laisser la possibilité de sortir s’il en ressent le besoin et toujours avec l’aide de friandises ou de jouets. Comme précédemment, nous procéderons graduellement à la fermeture des portes du véhicule. Une fois que notre toutou ne manifestera plus de signe d’inquiétude, nous pourrons effectuer quelques mètres avec lui à l’arrière, en augmentant peu à peu les distances parcourues. N’oublions pas de rester neutre et de l’ignorer : notre simple présence suffit à le rassurer. Laissons-lui quelque chose pour l’occuper afin de faciliter les trajets comme un os ou un jouet creux tartiné de nourriture appétante.

 

 

"Cette méthode est rébarbative !"

A nous de voir si l'on veut passer quelques semaines à l'aider à vaincre sa peur ou bien subir des années de trajets en voiture catastrophiques et insupportables pour tous....

 

 

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N’allons pas trop vite sous peine de rendre impossible cet apprentissage. C’est à force de patience et de persévérance que nous aiderons notre fidèle ami à vaincre sa peur.

 

 

 

 

 

 

 

Victoria Chasle Castillo

Comportementaliste

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26 avril 2011 2 26 /04 /avril /2011 15:59

Un Akita Inu est-il vraiment fait pour un appartement?

 

 

Aucun animal n'est "fait" pour vivre enfermé mais une bonne organisation de votre part lui permettra de jouir d'un bon équilibre de vie.

http://les-plus-belles-images.kazeo.com/sites/fr/photos/273/Akita-inu,2737537-L.jpg

   En lui consacrant du temps en activités diverses, vous ferez de lui un chien heureux :

 * jeux éducatifs

 * recherches de friandises

 * rapport d'objets

 * rencontres avec des congénères et / ou des humains

 * jouets à mâcher

 * os

 * cordes

 * promenades

   ... La liste est longue !


Victoria Chasle Castillo
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23 avril 2011 6 23 /04 /avril /2011 08:45

Bonjour,

Il y a une semaine, nous avons déménagé avec notre chat.
Depuis il se nourrit moins, il maigrit, perd ses poils et il est très stressé, il ne vient plus nous faire de câlin, etc.

Comment l'aider à s'adapter au mieux  son nouvel environnement ?

Merci.

 

 

Réponse :

 

Bonjour,

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L’idéal aurait été d’habituer progressivement votre chat à son nouvel environnement. Déménager c’est lui ôter tous ses repères, c’est chambouler son monde si bien organisé… d’autant plus si la surface actuelle est plus petite que précédemment.


Aujourd’hui, ce que vous pouvez faire, c’est le laisser dans une pièce durant quelques jours puis lui faire accéder à une autre pièce et ainsi de suite. Également, faites en sorte qu’il ait à sa disposition des jeux et des activités avec vous.
S’il a un accès sur l’extérieur, attendez qu’il soit parfaitement à l’aise à l’intérieur avant de lui permettre de mettre son nez dehors. S’il n’en a pas mais qu’il avait l’habitude de sortir, cela pourra lui être très difficile à supporter : ne pouvant plus assouvir ses activités quotidiennes, il pourra adopter des comportements gênants.

Patience et n’hésitez pas à faire appel à un comportementaliste afin d’éviter des erreurs qui pourraient se révéler regrettables.


Victoria Chasle Castillo
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14 avril 2011 4 14 /04 /avril /2011 09:11

Ma chienne déteste les chats!! Mon ami a un chat et on doit emménager ensemble !! Comment faire pour que ca se passe bien ?? Merci de m'aider !!

 

 

Réponse :




Les animaux ont besoin de fixer leurs limites seuls. Vous n'avez pas à intervenir dans leurs affaires, ils sont les mieux placés pour savoir comment se comporter. Plus vous interviendrez, plus vous les stresserez, plus vous les empêcherez de se connaître et plus vous repousserez le moment où ils parviendront à s'entendre.

 

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Leurs conditions d'élevage et les expériences faites durant leur vie ont un impact majeur : la question est donc de savoir si votre chienne a déjà rencontré un chat avant celui de votre ami (et, si oui, quelles ont été leurs relations).

Laissez-les procéder comme ils le ressentent. Le chat doit juste avoir un meuble où se percher et/ou sous lequel se cacher et, avec votre chienne, ils doivent disposer d'un espace de repli, une pièce où ils peuvent être certains d'être tranquilles.

Sachez également que votre propre comportement a un impact sur tout ça. Les courses poursuites, les menaces (parce qu'il y en a automatiquement, le but étant d'impressionner l'autre), les bagarres ne doivent pas vous énerver : restez zen.

Enfin, n'oubliez pas qu'il ne s'agit pas seulement d'un problème de cohabitation chien / chat mais aussi d'un déménagement / emménagement, de l'arrivée d'un autre être humain, de modifications dans le quotidien... bref, d'une série de situations extrêmement stressantes pour votre chienne et pour votre chat. L'aide d'un comportementaliste vous sera certainement utile.


Victoria Chasle Castillo
Comportementaliste
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C'est Quoi Ce Blog ?

  • : 1001 Comportements - Victoria Castillo
  • : Bonjour et bienvenue ! Vous ne comprenez plus votre compagnon à quatre pattes ? Son comportement vous dépasse ? Vous êtes au bon endroit, détendez-vous ! De nombreux articles sont susceptibles de vous aider et, si ce n'est pas le cas, je suis disponible (à distance !). Excellente visite et à bientôt !
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